samedi 31 mai 2008

jeudi 29 mai 2008

jukebox 2008 # 31



en dédicace pour mon cher et si rare Nico...
le genre d'artiste que je trimballe sur mon ipod... Cool

mercredi 21 mai 2008

sondheim jukebox # 11



je ne sais plus si je vous ai déjà infligé ce chef-d'oeuvre... une des mélodies les plus effrayantes du génie par son impayable créatrice, "the ladies who lunch" par Elaine Stritch ! Very HappyVery HappyVery Happy
totalement jouissif !

sondheim jukebox # 10



"being alive" de la formidable version de "company" (enfin disponible en dividi aux us) avec Raul Esparza !
reste à rêver que la version originale et/ou celle du Donmar soient éditées un jour...

jukebox 2008 # 30



en attendant Nicole Kidman et Michael Cunningham... un des chef-d'oeuvres de la belle dame... tiens, c'était en 1968... le FHAR n'était plus très loin...
clair, j'aimerais prendre un petit déj' au lit... et une bise ou trois...
"You dont have to say you love me
Breakfast in bed
Nothing need be said, yeah"

c'était hier...

30 pesetas en 1960... un crapaud venait au monde...

samedi 17 mai 2008

jukebox 2008 # 29



Carole K., "Tapestry"...

mercredi 14 mai 2008

avant, après # 11

avant



après


le regretté Sam Cooke...

My father's a proctologist. My mother's an abstract artist. That's how I view the world.



le film est une merveille qui révolutionne le concept du "live", rien que pour ça, il faut jeter un oeil sur "without you i'm nothing" mais la claque vient bien de Sandra Bernhard... un humour glacé et glaçant, très 90s, très pop... on sort du film dans un drôle d'état... c'est une "performeuse" ahurissante, elle peut être une chanteuse de jazz ou de soul ou une grosse bourge de la 5ème avenue trop dégoûtée de n'avoir pas acheté de toile de Basquiat avant sa mort ("je pouvais pas savoir") ou shoshanna (madonna ?) ou une grosse mama black ou une juive ultra orthodoxe ou la fille d'un proctologue et d'une artiste abstraite ou elle même... on ne sait jamais très bien où on en est...
à voir et à savourer comme un alcool fort !

cassette 13/05/08


jeudi 1 mai 2008

Je pars.

Ce froid si spécial des matins de voyage,
l'angoisse du départ, cette chair de poule,
qui part du coeur pour atteindre la peau,
qui pleure virtuellement malgré la joie.

Fernando Pessoa