jeudi 10 décembre 2020

vendredi 6 novembre 2020

Petit déjeuner du matin


 

Etat des lieux - 06/11/2020


 

My Normandy (David Hockney) - Galerie Long

Exposition (interrompue pour cause de COVID19) des dernières œuvres de David Hockney depuis qu'il s'est installé en Normandie.






(Les photos étant interdites, on va avantageusement profiter de ces images disponibles sur le site de la Galerie Lelong.)



dimanche 19 juillet 2020

samedi 6 juin 2020

samedi 21 mars 2020

dépression au dessus du jardin (et ailleurs)

Certains l'auront sans doute remarqué le rythme du blog a sensiblement ralenti. Pas le coeur à m'y mettre. Confiné à domicile comme tout un chacun. Sous anti-dépresseur depuis quelques jours. Les copyrights à la con m'empêchant d'alimenter régulièrement ma page. Voici donc la raison pour laquelle (en dehors de la panne qui, au bout de deux mois, n'en fut pas une, de mon ordinateur).
Vous n'êtes pas nombreux à me suivre, je le sais bien. Je tenais cependant à faire le point sur l'atmosphère. On se croirait dans un film de fin du monde réalisé par les frères Dardenne.


#coronavirus 2020



samedi 15 février 2020

Pierre Guyotat (1940-2020) au Musée d'Orsay

Hommage à celui qui fit voler ma vie en éclats quand Antoine Vitez adapta son "Tombeau pour cinq cent mille soldats" au Théâtre National de Chaillot en 1981.


samedi 1 février 2020

Le retour de mon héroïne [lent retour]

Angelica Liddell fait de nouveau preuve de son implacable génie sur la scène du Théâtre de la Colline (jusqu'au 9 février) dans un diptyque : "Una costilla sobre la mesa : Madre et Padre". Aux néophytes, je ne saurais jamais assez recommander "Madre" qui est un bouleversant requiem en mémoire de sa mère (qu'elle a détesté toute sa vie). Toujours la même forme (même si son style post-13 novembre; date à laquelle elle faillit se suicider tant elle était convaincue d'être responsable des horreurs qui se déroulaient dans Paris tandis qu'elle jouait sur la scène de l'Odéon ; s'est considérablement transformé: longs monologues déchirants puis collages d'images chocs, de projections d'oeuvres d'art et de musiques). Je ne recommanderais "Padre" qu'aux aficionados. Il s'agit de l'hommage à son père également décédé il y a peu. Là, elle fait appel à Deleuze, Hegel et Faulkner pour invoquer la figure du militaire fasciste avec qui elle entretint une relation assez floue. Spectacle difficile de par son sujet et par sa forme, elle ne recule devant aucun tabou. Il ne s'agit pas tant de provocation mais bien de tester les limites du représentable. La référence évidente au "Sul concetto di volto nel viso del figlio di Dio" de Castellucci, lui permet de se rapprocher d'une vision quasi-pasolinienne de la religion. A n'en pas douter, ces deux spectacles sont de très loin un des plus forts depuis longtemps. Depuis, j'ai l'impression que tout est fade et inutile (cf, "Angels in America" montés par Arnaud Desplechin à la Comédie Française m'a semblé un contresens absolu et, par la même, un échec total. Je ne vois d'ailleurs plus l'intérêt de monter ce texte après l'incandescente version de Warlikowski au Rond Point en 2007).








dimanche 12 janvier 2020

summum

sans doute le plus beau final d'un des plus beaux films au monde 
(sans aucun doute, une de mes obsessions)
NOW VOYAGER


mercredi 8 janvier 2020

Le trio en mi bémol (Eric Rohmer)

Pièce admirable vue plusieurs fois en son temps au Théâtre du Rond Point.


dimanche 5 janvier 2020

Adieux à un personnage...

La toute dernière (?) représentation du personnage de Ferdinand Faure au Théâtre du Rond Point.
J'avoue avoir lâché quelques larmes à la fin.