dimanche 27 janvier 2019

cinefiliation # 02






Michel Legrand songbook # 03

Vous l'aurez sans doute remarqué, mon hommage à Michel Legrand se fait par les marges... Nougaro, Christiane Legrand... Voici, la seule et unique Jane B. reprenant la chanson de "Cléo de 5 à 7".


Schloss Belvedere # 02






Michel Legrand songbook # 02


Fernand Knopff au Petit Palais # 01






samedi 26 janvier 2019

Michel Legrand songbook # 01


Michel Legrand (1932-2019)

Aujourd'hui, c'est l'éloge unanime. 
Dans ma jeunesse, il en était pourtant bien autrement. Mes copains se moquaient de moi. "Comment peux-tu aimer ce ringard absolu ?" Quand je découvris "Les Double Six" vers la fin des années 70, je provoquais leur hilarité générale : "On dirait du Legrand !". On n'est sans doute pas sérieux à cet âge. Le fait est que, le temps passant, 'il faisait figure de Maître incontournable.
Hier soir, sur la scène du Théâtre de l'Odéon, un moment des "Idoles" de Christophe Honoré a suscité l'enthousiasme général dans le public : Marlène Saldana (nue sous sa fourrure) danser et chanter aux sons de "La chanson d'une nuit d'été" des "Demoiselles". Les temps changent. 
En ce qui me concerne, il a toujours fait partie des Présents. Je l'ai régulièrement vu sur scène. Avec son ex-compagne la harpiste Catherine Michel, avec Jean Guidoni (avec qui il signa un disque savoureux), en chef d'orchestre concertiste au TCE, avec Natalie Dessay, dans un hommage inattendu à Léo Ferré (où il se fit d'ailleurs huer). J'hésitais d'ailleurs à prendre un billet pour son concert prévu prochainement au Grand Rex. Jazz, pop, cinéma ? Juste un musicien incontournable que certains ont adoré détester et que tout le monde semble adorer de nos jours.


mardi 22 janvier 2019

cinefiliation # 01

parce que la passion du cinéma, ça se transmet ! mais la cinéphilie n'est pas une maladie.
le cinéma n'est pas mort comme certains tentent de nous le faire croire.
des images, du son, une histoire et le tour est joué. pas besoin d'effets aussi spéciaux que spécieux. pas forcément une image juste mais juste une image, pour paraphraser JLG... le cinéma, j'ai baigné dedans depuis la plus tendre enfance. le cinéma, je n'ai pratiquement plus le temps d'y aller, ni même l'énergie. mais à quoi bon aller voir les dernières nouveautés si on ne connaît pas ses classiques ? celui qui n'a connu le traumatisme originel du "Chien andalou" ne devrait pas avoir le droit de prendre un billet ! tout y est et ce putain de film a presque 90 ans ! 
alors, voici une nouvelle série d'entrées. Daney ayant été une de mes "idoles", son fabuleux portrait figure naturellement en place d'honneur (en attendant son retour sur les planches sous la plume de Christophe Honoré, un autre cinéfils.)
Ne vous attendez pas à des rebondissements à la Spielberg (que j'apprécie par ailleurs), ici, il ne sera pratiquement question que d'éblouissements.
Lavez-vous bien les yeux entre chaque regard (comme dirait l'autre) et bonnes soirées !






lundi 21 janvier 2019

lire délivre # 10 (spécial Jean-François Vilar)






Jean-François Vilar nous a quittés en 2014.
Je me souviens précisément du jour où une amie (une ex-prof de culture générale) me conseilla "Bastille Tango" ("si ça ne vous plaît pas, je vous rembourse" - oui, nous nous vousoyions.) Grâce à Vilar (et, donc, à Chantal), je découvris Marcel Duchamp, Ernesto Sabato et le Tango (et tant d'autres belles choses).
Rechercher tous les nouvelles de Vilar est un pur régal... et ce n'est pas forcément facile.



si je t'écris ce soir...


unter dem Schnee






dimanche 20 janvier 2019