dimanche 29 août 2010

une exposition à suivre de près


Sébastien Paul Lucien
et ses "Marins"
à la Galerie Au bonheur du Jour
à partir de 22 septembre.

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un p'tit coin de paradis


Shakespeare & Company

37 rue de la Bûcherie
75005 Paris

il suffit de franchir la porte de cette librairie, mythique s'il en est, pour se retrouver dans un ailleurs d'une incroyable poésie où se mêlent joyeusement touristes, amateurs de beaux et bons livres, américains de Paris et autres ratons laveurs...

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samedi 28 août 2010

vendredi 27 août 2010

lundi 23 août 2010

bonnes adresses # 01


Librairie Les Saisons
2 rue St Nicolas
La Rochelle
05 46 37 64 18

Le temps d'une brève pause pour me protéger de la chaleur de La Rochelle, je me suis aventuré dans cette merveilleuse librairie. J'y trouvai mon premier recueil de Mahmoud Darwich et un tabouret pour m'y reposer. Une librairie comme une chanson de Brassens.

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dimanche 22 août 2010

jukebox 2010 # 21



Attention, chef d'oeuvre ! Une séquence du "Petit théâtre de Jean Renoir" où Jeanne Moreau chante "Quand l'amour meurt". Sublime !

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au hasard des rencontres # 14


28 juin 2010 : Opéra Garnier

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le silence des images # 01


Je reviendrai nécessairement et longuement sur l'exposition Ernest Pignon-Ernest qui s'achève aujourd'hui à l'Espace Encan de La Rochelle.

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mardi 17 août 2010

samedi 14 août 2010

jeudi 12 août 2010

original soundtrack recording # 01




Grace of My Heart (1996) film written and directed by Allison Anders,

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mercredi 11 août 2010

jukebox 2010 # 19



Vous ai-je dit où je serai le dimanche 31 octobre à 19h00 ? Non ?
A l'Olympia, 28 boulevard des capucines à Paris : à l'orchestre rang 05 place 32...

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jukebox 2010 # 18



Ray Davies en concert à l'Olympia le 31 octobre... lololololola...

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mardi 10 août 2010

archives de la chansonnette # 02


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c'était l'année soixante-neuf...

Je déduis qu'il s'agissait de 1969 d'après le cartouche aux pieds de ce cher Bruno T. (en bas à gauche)... Je suis le troisième en partant de la droite au deuxième rang avec mon air de parfait ahuri... D'après les pulls et le manteau de M. Goetta, j'imagine qu'il doit s'agir de la fin d'année (à moins que ce n'en soit le début)... Je me souviens du destin tragique de certains (psychiatrie, drogues,...) D'autres doivent être de confortables pères de famille... Je n'ai que très peu de noms en mémoire... Il ne me reste que très peu d'images de ma jeunesse... Celle-ci doit être celle de l'innocence, d'avant les passions, les souffrances... C'était hier...

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dimanche 8 août 2010

Les Bijoux (bis)



La version par laquelle ce merveilleux poème s'est gravé dans ma mémoire... Montand, Ferré, Baudelaire... Joli tiercé...

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Les Bijoux

La très-chère était nue, et, connaissant mon cœur,
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores.

Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j'aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière.

Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d'aise
À mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.

Les yeux fixés sur moi comme un tigre dompté,
D'un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses ;

Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l'huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,

S'avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s'était assise.

Je croyais voir unis par un nouveau dessin
Les hanches de l'Antiope au buste d'un imberbe,
Tant sa taille faisait ressortir son bassin.
Sur ce teint fauve et brun le fard était superbe !

– Et la lampe s'étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d'ambre !



Charles Baudelaire

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samedi 7 août 2010

un mois en images - mai 2010 # 2


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50



6 août... Je n'aurais jamais cru que ça arriverait si vite...

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