jeudi 29 mars 2012

1924



Ballet mécanique
Fernand Léger
1924

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dimanche 25 mars 2012

la loi du désir # 02






comme un sacre du printemps 2012

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23 rue de Sévigné 75003 Paris # 02






Que serait Paris sans ses parisiennes ?

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samedi 24 mars 2012

jukebox 2012 # 03



Rita Pavone, "Que me importa el mundo".

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avant, après # 45

Anne Wiazemsky

avant,

après,
 

et alors ?
la grâce est inaltérable...

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salon du livre 2012

Invité par la formidable Maison Européenne de la Photographie au Salon du Livre, je n'ai pas hésité une seconde à braver mon état de fatigue avancé pour arpenter les travées du Palais des Expositions de la Porte de Versailles... L'éternel adolescent à l'affût a fait valser toute trace de lassitude et a traqué la "vedette"... Une seule dédicace (je n'allais pas me trimbaler avec toute ma bibliothèque dans ma besace) mais quelques photos volées à ces écrivains bien de leur temps... Pour bien faire, il m'aurait fallu y passer trois pleines journées... Je me contente de ce joyeux souvenir...
Evidemment, tout n'est qu'une question d'argent, le stand Gallimard était de loin le plus couru... Il n'y a pas (plus ?) de secret, la littérature est devenu un produit marketing comme les autres... La magie du verbe s'est un peu dissoute dans la promotion... A nous de rester vigilants et de guetter les talents qui demeurent nombreux...

L'immense Russell Banks (qui m'a donc dédicacé son nouveau roman au titre si troublant, "Lointain souvenir de la peau")

L'impeccable Daniel Pennac

Un des plus grands plasticiens contemporains (selon moi) Miquel Barceló.

La délicieuse Anne Wiazemsky


Philippe Druillet, le noctambule...

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mercredi 21 mars 2012

23 rue de Sévigné 75003 Paris # 01

Le Pré-Catelan

René Crevel

Jean Cocteau

Place Pigalle

Place Blanche

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samedi 10 mars 2012

34 Cour Napoléon 75001 Paris # 08






(spécial St Sébastien)

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jeudi 1 mars 2012

Davy Jones (1945-2012)




Je me suis surpris à fondre en larmes en faisant écouter "Daydream believer" à mes collègues, ce soir... Comme toujours, on ne pleure jamais que sur soi même... Davy Jones nous a quittés, les Monkees resteront à jamais mais ma jeunesse en prend chaque jour un coup dans l'aile... Egoïste, égotiste... peu importe... le fait est que comme l'a dit JMJ, "tu sais, tous ceux ce que tu aimes vont disparaître avant toi... normalement..." Je n'aime pas écrire sur la perte, je n'aime pas beaucoup écrire, je n'aime pas beaucoup... ou serait-ce le contraire ?
Inutile de dire que personne ne connaissait les Monkees au bureau...

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