dimanche 29 juin 2008
le rire est le propre de l'homme...
rien de tel que Bénureau pour me faire hurler de rire et me détendre...
j'en ai marre de tous ces médicaments !!!
jukebox 2008 # 34
pourquoi il me bluffe, ce môme ? au point que j'ai fait de ses "limites" ma sonnerie de téléphone !
samedi 28 juin 2008
un de mes premiers émois...
John Moulder-Brown dans le sublime "Deep end" de Jerzy Skowlimovski.
comment définir cette attirance ? sans doute cette absence absolue de masculinité qui n'a évidemment rien à voir avec la virilité... je suppose que ceux (le pluriel me semble presque obscène) qui me connaissent le mieux savent ce dont je parle... mes émotions les plus intenses, c'est dans la fragilité que je les ai toujours vécues... la structure m'effraie, il n'y a que le volatile qui puisse me séduire... ce soir, je pleure... sans amertume... comment pourrais-je prétendre à un tel luxe ? je pleure parce que j'ai encore cru aux grands soirs, parce que tout semblait tellement évident... non, rien... juste une voix qui s'excuse et promet tant de belles choses... une voix qui souffre... trois verres de whisky, un plat de coquillettes, quelques mesure de Nina Simone ou Fred Hersch et ma douleur est oubliée... mais comme le chantait Marlène D. puis William B. : "Ich Bin Von Kopf Bis Fuß Auf Liebe Eingestellt" ...
ps : dire que j'ai cru au vieux truc de la migraine...
pps : et si c'était vrai ?
ppps : vive les copains !
pppps : heureusement qu'ils sont là...
מצדה # 2
Joey Baron - drums,
Dave Douglas - trumpet,
Greg Cohen - bass,
John Zorn - alto saxophone,
(live at Warsaw Summer Jazz Days 1999, Poland)
vendredi 27 juin 2008
מצדה # 1
John Zorn / Masada String Trio - Meholalot
Mark Feldman - Violin
Erik Friedlander - Cello
Greg Cohen - Bass
mardi 24 juin 2008
faîtes de doux rêves....
mardi 24 à la Téci de la Zic, "The dreamers" de John Zorn... Le plus beau disque depuis belle lurette tous genres confondus live à La Villette, chic !
en attendant vendredi prochain...
Raimund Hoghe sera à Gennevilliers ce week-end pour son magnifique et allègre "Young people, old voices"... qu'on se le dise !
lundi 23 juin 2008
hommage, hommage, hommage...
cet époustouflant pas-de-deux est une des plus belles scènes de l'histoire du cinéma musical où la danse vient et s'efface tout naturellement... Cyd Charisse et Fred Astaire y sont bouleversants... et ils le seront à jamais !
le sublime "Dancing in the dark", extrait de "The bandwagon" de Vincente Minnelli...
jukebox 2008 # 33
je ne pense pas vous l'avoir déjà proposé :"John Wayne Gacy Jr" de l'immense Sufjan Stevens (qui se fait trop rare sous nos lattitudes)... la seule chanson que je connaisse consacrée à un authentique tueur en série...
c'est bon d'être de retour à Paname, même si ce n'est que pour un mois...
dimanche 22 juin 2008
21 juin 2008 : fête de la musique à l'herbaudière, noirmoutier...
Silence total la nuit dernière dans le port de L'Herbaudière sur l'île de Noirmoutier... Après l'émission spéciale consacrée à "Rapido", mon ipod en poche et mon appareil photo à la main, je me suis promené autour des quais déserts... ma fête de la musique a surtout été dominé par le magnifique "The dreamers" de John Zorn, un best of de Prince et le dernier album de la délicieuse Marie France. J'ai connu des fêtes de la musique plus ennuyeuses...
vendredi 13 juin 2008
la ultima rumba en paris
tres horas de fiesta de puta madre ! le beau Manu semblait monté sur ressorts et branché sur le 220... je serais bien incapable de dire pourquoi j'ai pleuré à grosses larmes quand ce gamin est arrivé sur scène ou quand il a entonné sa fameuse "mala vida"... hier encore, je disais que ce serait mon dernier concert de rock... il m'a tellement regonflé d'esperanza que je me laisserai peut être encore tenter un jour... je me suis même lancé à gigoter sur "Sidi H'Bibi"... c'est dire... je crois que ce qui me désole, c'est de savoir que dans une semaine, le 21, ce gamin aura 47 ans...
mercredi 11 juin 2008
Mademoiselle Jeanne...
une fois l'incongruité de ne présenter qu'une lecture du "Quartett" de Heiner Müller (une des pièces les plus folles du théâtre contemporain et dont je garde le souvenir incandescent de la version originelle montée par l'auteur...) oubliée, on se place dans le registre du concert... deux virtuoses parmi les plus grands... Mademoiselle Jeanne Moreau et Monsieur Sami Frey... le texte en ressort avec une précision saisissante... on réalise pleinement que nous ne sommes pas face à Choderlos de Laclos mais bien à l'effrayante version qu'en a tiré Müller... La crudité des propos est glaçante... surtout dans la bouche de ces monstres sacrés ! tant d'intelligence et de venin en si peu d'espace ne pouvait qu'être un électrochoc... une sorte de brûlure de cigarette au creux du coude... dur, âpre et sans concession... assez rare pour être remarquable !
dimanche 8 juin 2008
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