pour célébrer l'entrée pour des millions de musulmans dans le mois de ramadan, rien de plus doux et savoureux, à mon avis, que la première apparition filmée du divin Mohamed Abdel Wahab, sans doute le plus grand compositeur du monde arabe moderne. السلام عليكم
mon premier spectacle après cette parenthèse chirurgicale qui résiste encore à l'ennui, la frustration et l'infantilisme prévisible... au moins, la douleur semble avoir disparu. bref... je serai donc le 25 octobre à la Maison des Arts de Créteil. si le coeur vous en dit...
il est jeune, il est beau, il est gay, il est australien, il est champion olympique et il conserve un je ne sais quoi de naturel qui me le rend d'autant plus attachant.
le rare et divin Jobriath dans une de ses trop rares apparitions télé en 1974... quelqu'un lui doit énomément sans vraiment l'admettre... mort du sida en 1984, il est encore temps de redécouvrir cet artiste précurseur et tristement méconnu.
spécial 48ème anniversaire !!! une journée de musiques qui me tiennent vraiment à coeur pour finir en beauté par un gag plutôt drôle, "Gay boyfriend". histoire d'oublier l'âge et... une santé assez capricieuse... allez, zou, à l'année prochaine...
"The ballad of Booth" de Stephen Sondheim, extrait de son musical le plus noir, "Assassins" par Patrick Cassidy et Victor Garber lors du concert commémorant les 70 ans du maestro au Carnegie Hall de New York...
l'irremplaçable Michael Callen chante "The Healing Power of Love" en 1989 à New York. ce sont pratiquement les seules images que je connaisse de ce sacré bonhomme dont les quelques rares titres qu'il a enregistrés avec Fred Hersch (album "Legacy") sont dignes de toute discothèque jazz qui se respecte...
pour que personne n'ignore son immense talent : Fanny Brice - Cooking Breakfast For The One I Love (1930) on lui doit quelques standards immortels dont l'inoubliable "My man". un peu comme si Annie Cordy avait créé le repertoire de Piaf, un peu, hein... c'est pas ça mais un peu...
double retour... le mien, évidemment, sur mon lit de convalescence que je ne vais pas quitter de si tôt (mais je ne vais pas me plaindre...) et, surtout, de l'immense Randy Newman dont le tout nouvel album ne devrait pas tarder à venir distiller toute son ironie dans mes oreilles qui n'en peuvent mais... en voici un premier extrait bien saignant, "A Few Words in Defense of Our Country".