je suis loin d'être un fan d'Armistead Maupin... je trouve les "Chroniques de San Francisco" sont un gâchis absolu... le récit du quotidien des personnages principaux aurait largement suffit à composer un roman sympathique... non, il s'est cru obligé d'y ajouter de l'humour pas drôle et rocambolesque... dommage, l'ensemble en souffre... j'ai failli être bluffé par "Une voix dans la nuit" en totale rupture avec ses chroniques... pourtant, non, il y manquait un je ne sais quoi de littéraire qui en aurait fait un vrai roman... là, c'est juste une bonne histoire racontée tant bien que mal... dommage encore... je ne dis évidemment pas que ce "Michael Tolliver lives" est la dernière chance que je lui laisse... au contraire... Armistead Maupin fait partie de ces quelques artistes qu'on adorerait adorer et qui sont tellement touchants au naturel qu'on les aime tout de même... et puis reconnaissons, en dépit de tout, qu'il a été un pionnier dans son genre... j'ai d'ailleurs été surpris de constater que nous n'étions qu'une petite dizaine dans la librairie, ce dimanche "midi"... il y a bientôt dix ans, son nom était sur toutes les lèvres du Pop In...
étonnant, non ?
ps : fuck Patti Smith !
1 commentaire:
celà étant dit, le bouquin est passablement lamentable... sans parle de la traduction approximative...
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