samedi 28 juillet 2007

un petit dernier pour la route...



la belle voix chaude de cassandra wilson...

vendredi 27 juillet 2007

entracte



ce coup-ci, c'est la bonne... la pépite file se mettre au vert pour une hibernation estivale... je vous laisse les clefs, ne soyez surtout pas sages... amusez-vous, faîtes les cent coups... pendant ce temps-là, je vais tâcher de recharger les batteries pour revenir pour de nouvelles aventures et plein d'idées... (parce que là...)

allez zou, au vingt août...

nico ! (mais non, pas toi !)

beautiful thing # 1



c'est curieux... je me souviens très bien de sa mort... j'avais presque 14 ans et je n'avais aucune idée de qui elle était... depuis, je ne connais de musique plus joyeuse que celle des mamas & papas... et mama cass était magnifique...
pas étonnant qu'un "certain" film ait choisi sa musique comme bande son... tout comme une certaine bande de touristes "perdus" sur une certaine île !

walk like an egyptian



c'est supposé être mon nom en hiéroglyphes... oui, je sais c'est très bête...
mais il se fait tard et j'ai vraiment mal au dos... Laughing

jeudi 26 juillet 2007

ariane, c'est toujours toi la plus forte !

bravo ariane !

La dépêche de l'Agence France Presse a été diffusée mercredi 25 juillet, à
17 h 11 : Ariane Mnouchkine est nommée "professeure associée à temps plein au
Collège de France, sur la chaire de création artistique". La dépêche précise que
cette nomination "par décret du président de la République (est) en date du 23
juillet 2007." Libération reprend cette information sur son site Internet,
quelques heures plus tard : "Ariane Mnouchkine nommée au Collège de France par
Nicolas Sarkozy". Du coup, la metteuse en scène, fondatrice et animatrice du
Théâtre du Soleil depuis 1964, fait paraître un communiqué où elle indique
qu'elle est : "très touchée d'avoir été proposée comme titulaire de la chaire de
création artistique pour l'année 2007-2008 par Mireille Delmas-Marty et Alain
Berthoz, professeurs au Collège de France. (Elle) croyait avoir eu l'honneur
d'être élue par l'assemblée des professeurs du Collège, le dimanche 26 novembre
2006, (mais) vient d'apprendre qu'elle n'est que "nommée" par Nicolas Sarkozy,
élu en 2007. Très déçue, elle refuse donc cette nomination".
D'Avignon, où elle se trouve, Ariane Mnouchkine explique son geste : "Je
suis furieuse que l'information ait été publiée en ces termes,. Elle fait de moi
une collaboratrice du régime de Nicolas Sarkozy. Alors que les membres du
Collège de France sont choisis par l'assemblée des professeurs." Effectivement,
le président de la République ne fait que valider ces choix. "Proposée et élue,
il y a environ huit mois, reprend Ariane Mnouchkine, j'ai été extrêmement
heureuse et honorée de cette nomination. Mais aujourd'hui, je me sens piégée,
instrumentalisée par la présidence de la République et par une partie de la
presse, et je ne l'accepte pas. Nicolas Sarkozy fait de nous des collaborateurs,
il essaye de récupérer tous ceux qui ont une certaine surface médiatique, les
artistes comme les autres : c'est inacceptable. Alors je préfère refuser ce
poste qui me faisait extrêmement plaisir, parce que je pense qu'il est
nécessaire de réagir. Vous avez vu ce qui s'est passé avec les infirmières
bulgares, où on essaye de nous faire avaler que c'est la présidence de la
République française qui les a sauvées, alors qu'on sait pertinemment qu'une
mission diplomatique européenne y travaillait depuis des années. Il faut que
Nicolas Sarkozy arrête de faire croire que c'est lui qui met l'eau dans les
robinets..."
Fabienne Darge

ich bin eine grossen schwule, ja whol !



les rosenstloz sont les joyeux héros du côté de la berlin alexanderplatz... on dirait une ébauche teutonne des scissor... en moins fun... teuton quoi... Laughing

pétasse songbook - 4



ce coup-ci, c'est moi la pétasse !!! Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing

mercredi 25 juillet 2007

souvenirs, souvenirs...

mes authentiques premiers pas sur internet et sur la caverne par la même occasion, ma "fameuse" playlist qui me valut des mails du monde entier... mon heure de gloire... ce qui est rigolo, c'est qu'aujourd'hui je n'aurais absolument pas mis les mêmes titres... enfin pas tous... par exemple, aucune trace de sondheim dans ce fatras alors qu'aujourd'hui il serait tout en haut aux côtés de coltrane...
amusez vous... c'était en 2002 si j'ai bonne mémoire... Cool



my favorite things – john coltrane (mon disque favori)
once upon a summertime – blossom dearie (la rencontre avec la voix la plus délicieuse du jazz)
stoned soul picnic – the best of laura nyro (à (re)découvrir de toute urgence)
the complete studio recordings – mississippi john hurt (le folk blues dans toute sa douceur)
the cole porter song book – ella fitzgerald (la dame dans un répertoire de rêve)
different trains/reich – kronos quartet (certainement une des pages les plus essentielles de la musique de la fin du siècle dernier)
dead city radio – william burroughs (le pervers pépère et ses potes, classieux)
forever changes – love (un bijou)
feelin’ groovy – best of harpers bizarre (une bande de givrés comme je les aime, un sacrée surprise)
at the close of a century – steve wonder (il sera beaucoup pardonné malgré la déchéance des vingt dernières années)
roaratorio – john cage (ouh la la ! absolument passionnant !)
beauty is a rare thing – ornette coleman (depuis « free jazz » la musique n’est plus la même)
mister hearbreak – laurie anderson (le souvenir d’une tournée exceptionnelle et d’un film jubilatoire)
santa maria de iquique – quilapayun (mes quinze ans, ma découverte du fascisme)
einstein on the beach – philip glass & robert wilson (encore un souvenir de scène fascinant et d’une musique envoûtante)
los clasicos de cuba 1 – silvio rodriguez (la plus belle voix cubaine des 70s – même si ce disque est loin d’être complet)
die zauberflöte/mozart – barl böhm (une jolie version pleine de joie)
the greatest hits – smokey robinson (un des plus grands songwriters américains et l’un des plus méconnus)
the quintessential billie holiday (la jeunesse de la voix la plus bouleversante du monde)
grands cantaores du flamenco, 1 – pepe de la matrona (une voix toute en rocaille, pas si loin du chant indien)
14 greatest hits – al green (le chanteur le plus sexy)
the look of love – the burt bacharach collection (un monument ! la pop us dans toute sa splendeur !)
the definitive ray charles (enfin une compil’ satisfaisante du bonhomme)
let’s do it – best of the verve years – louis armstrong (rien à dire, il est incontournable)
her best – etta james (la plus grande après aretha franklin)
goodbye and hello – tim buckley (j’avais vingt ans, mon premier séjour à londres, une belle gueule sur une pochette, la claque)
the art ensemble of chicago with fontella bass (les fous furieux dans leur chef d’œuvre)
pink moon – nick drake (un visage et une voix d’ange, à ne pas écouter en cas de déprime)
the complete recordings 1 à 4 – bessie smith (là, c’était l’été de mes 18 ans, une chaleur étouffante et « st louis blues » en pleine nuit, inoubliable)
mel tormé swings shubert alley (une voix de velours et swing élégant)
the capitol collector’s series – merle haggard (encore un immense songwriter injustement méprisé et donc méconnu)
the classic quintet – complete impulse ! studio recordings – john coltrane (« a love supreme » est très certainement un des plus grands disques de l’histoire du jazz)
i see a darkness – bonnie « prince » billy (une découverte récente, un frisson terrible)
parade – prince (rien que pour « sometimes it snows in april », ce disque est un bijou)
concerto for orchestra/music for strings, percussion and celesta/bartok – fritz reiner (simple et sans faute, un disque formidable sur une musique essentielle)
lady soul – aretha franklin (une très grande dame pour un très grand disque)
all the sad young men – anita o’day (une chanteuse que les français ont injustement longtemps méprisée, à redécouvrir)
les double six / les double six rencontrent quincy jones (le b-a ba du jazz, de plus c’est à mourir de rire)
blue valentine – tom waits (le disque que mes parents m’ont offert pour mon bac, je ne leur en serais jamais assez reconnaissant)
howl, usa – kronos quartet (je pensais ne plus pouvoir être surpris en musique, erreur ! magnifique)
i’m your man – leonard cohen (pourquoi celui là et pas un autre ? à cause de « love, etc… »)
chamber symphony/grand pianola music – john adams (c’est beau, c’est grand)
astral weeks – van morrison (petit, gros et moche mais quelle voix ! quel disque)
trout mask replica – captain beefheart & his magic band (étonnant, non ?)
mahadonny/kurt weill – lotte lenya/max thurn (la seule version, non ?)
tried and true – best of suzanne vega (mais oui, on t’aime, toi aussi… surtout quand dave douglas est derrière toi)
overtures/beethoven – daniel harding (ben… parce que c’est danny et que c’est vaguement un copain)
the supreme collection volume 1 – nusrat fateh ali khan & party (une belle collection de performances vers la fin de sa vie)
colors of the day – the best of judy collins (que c’est beau et émouvant…)
rock bottom – robert wyatt (bottom ? un sommet oui !)
greatest hits – the coasters (l’éclat de rire de la soul)
mamaloschen – mandy patinkin (un projet artistique fascinant et émouvant)
charms of the night sky – dave douglas (certainement le plus disque de jazz ( ?) des dix dernières années)
berlin – lou reed (beaucoup plus éprouvant qu’on ne l’imagine, c’est tellement déprimant… mais quel disque !)
magnificathy – the many voices of cathy berberian (une expérience à ne pas louper)
united/you’re all i need – marvin gaye & tammi terrell (le beau marvin avec une partenaire de rêve)
le nozze di figaro/mozart – karl böhm/hermann prey (sublime !)
the irving berlin song book – ella fitzgerald (ella sera toujours la plus grande, surtout avec un répertoire aussi léger)
the greatest hits of roy orbison (on en pleurerait..)
winterreise/schubert – peter pears & benjamin britten (peut être pas la plus belle version mais tellement émouvante, une preuve d’amour)
the complete recordings – robert johnson (attention au diable, il est partout !)
the ugly one with the jewels – laurie anderson (madame reed dans un registre conceptuel)
for the stars – anne sofie von otter & elvis costello (un disque comme ça par an et je suis heureux)
on dial completed – charlie parker (le nouveau testament du jazz, le jésus christ du bebop)
pavarotti’s greatest hits (une nuit chez des amis, il y a vingt ans… ils se sont couchés et je suis resté seul chez eux à écouter cette voix prodigieuse… ma vie avait basculé… c’était bien avant qu’il ne devienne le gros con qu’il est aujourd’hui)
the river – bruce springsteen (on pourrait faire un film de chacune de ces chansons…)
knoxville : summer of 1915/barber – leontyne price (attention, chef d’œuvre !)
violets of dawn – eric andersen (un sous-dylan ? n’importe quoi ! écoutez « come to my bedside » et détrompez vous)
black angels/crumb – kronos quartet (le kronos dans un répertoire particulièrement émouvant)
the freewheelin’ – bob dylan (le choc initial, inoubliable)
concerto # 2 & 3 – sergei rachamninoff (sergei par sergei, la joie)
the complete birth of the cool – miles davis (une étape dans l’histoire du jazz)
grands cantaores du flamenco, 10 – pepe marchena (un peu le « mississippi john hurt » du flamenco, une douceur inattendue)
quintette à cordes/schubert – quatuor amadeus & robert cohen (splendide !)
best of the 60s – the hollies (eux, je les adore !)
fin de siècle 1 & 2 – jean guidoni (le dernier projet en date de guidoni, très émouvant même si parfois un peu bavard)
the complete columbia recordings 1955-1961 – miles davis & john coltrane (« kind of blue » est un chef d’œuvre, le reste est l’avenant)
brigitte fontaine est folle (on le sait mais quel talent !)
the goldberg variations – glenn gould (1982) (encore un fou de génie)
mingus – joni mitchell (je vous aime, madame !)
messe en si mineur/bach – philippe herreweghe (une version limpide et passionnante)
the very best of the rascals (la pop cool !)
grands cantaores du flamenco, 15 – camaron de la isla (le « mick jagger » du flamenco, olé !)
words for the dying – john cale (encore un disque déprimant mais tellement beau)
stravinsky, boulez, denisov, stockhausen, donatoni, berio – alain damiens (la belle clarinette de damiens au service de la modernité)
hejira – joni mitchell (je vous aime toujours, madame !)
turangalîla symphonie/messiaen – myung-whun chung (wouaouh ! la musique contemporaine française dans ce qu’elle a de plus passionnant)
anthologie – michel legrand ( la la lère !)
let’s get it on – marvin gaye (le côté le plus sex du maître)
my gentleman friend – blossom dearie (hi hi hi, de la bonne humeur pour toute la journée)
petrouchka/le sacre du printemps – pierre boulez & new york philarmonic (un séisme… si seulement je pouvais voir « le sacre » par pina bausch…)
the velvet underground & nico (le diamant noir de la pop)
raga jog – shivkumar sharma (bien plus qu’une simple musique planante, un disque magnifique)
tehillim/three movements/reich – reibert de leeuw & michael tilson thomas (encore une preuve du grand talent de steve reich et que la musique contemporaine peut ne pas être chiante)
the dreams and prayers of isaac the blind/golijov – kronos quartet & david krakauer (une œuvre réjouissante)
help ! – the beatles (pourvu qu’on ne les oublie jamais !)
running on empty – jackson browne (sur la route en direct)
100% azucar – celia cruz (enfin, une compil’ de la dame…)
the rodgers & hart song book – ella fitzgerald (certainement le répertoire le plus élégant qu’elle a interprété)
giant steps – john coltrane (encore une merveille)
speak low – anne sofie von otter (kurt weill par la plus belle des mezzo)
porgy and bess (1951 studio recording) (je sais pas pourquoi mais c’est la seule intégrale que je supporte)
the death of klinghoffer – john adams (adams s’attaque au conflit israélo-palestinien pour son opéra le plus émouvant)
anthology – marvin gaye (un monument de sensualité, fabuleux)
nebraska – bruce springsteen (le plus beau disque du boss, bouleversant)
les suites pour violoncelle/bach – pablo casals (qui d’autre ?)
en concert 1 à 5 – nusrat fateh ali khan (quelle voix ! je me souviendrai longtemps du concert où j’étais au premier rang juste devant lui…)
curlew river – benjamin britten (un opéra de poche d’une pureté rarement atteinte)
moondance – van morrison (le swing du gros… quelle fougue !)
the singles collection – the specials (ah ! le ska de mes 20 ans !)
the very best of dean martin – the capitol & reprise years – 1 & 2 (on sait qu’il se foutait de ce qu’il chantait mais qu’est ce qu’il chantait bien !)
tambo – tito puente (un son unique, le duke ellington cubain)
younger than yesterday – the byrds (des chansons magnifiques)
preludes1 & 2 /children’s corner/images/debussy – arturo benedetti michelangeli (mon pianiste favori dans un répertoire de rêve)
estrangeiro – caetano veloso (veloso produit par la bande à zorn, décoiffant)
the man and his music – sam cooke (une voix de miel)
the chee chee girl – rose murphy (encore une voix totalement improbable et irrésistible… marilyn monroe l’aura toujours imitée)
anthologie – charles trénet (ben oui quoi, c’était le plus grand !)
porgy and bess – highlights – leontyne price & william warfield (ah ! si seulement ils avaient enregistré l’intégrale, somptueux !)
tapestry – carole king (si vous voulez me faire du mal, privez moi de ce disque)
passions of a man – the complete atlantic recordings 1956-1961 – charles mingus (un géant ! on a plutôt tendance à l’oublier)
flûte shakuyachi – gorô yamaguchi (une heure de sérénité)
uncle meat – frank zappa (je ne sais pas ce que c’est mais c’est génial !)
red hot and blue (cole porter version pop et pour la bonne cause, grand disque)
the audience with betty carter (encore une grande dame de la « musique classique noire », la callas du jazz)
guilty : 30 years – randy newman (la perfection du songwriting)
richard hell & the voidoids – blank generation (une voix, une rage inoubliable)
belly of the sun – cassandra wilson (que c’est beau, du soleil même la nuit)
stardust – willie nelson (quand la country s’attaque au répertoire du jazz, youpi !)
broadway album – barbra streisand (m’en fous, je l’aime)
une histoire d’amour – anna karina (parce qu’elle a tellement compté dans ma vie et qu’elle a toujours chanté juste)
bar kokhba/john zorn – masada chamber ensembles (le prolongement du prodigieux quartet)
loaded – velvet underground (le dernier et un des plus beaux)
places – brad mehldau (toujours en trio mais dans un registre plus personnel et plus rigolard… brad en goguette)
transformer – lou reed (ben oui, quoi ? c’est génial, non ?)
my way – the best of frank sinatra (la voix qui m’a accompagné toute ma vie… aussi loin que je me souvienne)
august – sarah-jane morris (une voix de folie et une guitare dérangée… une belle surprise)
broken shadows – ornette coleman (ornette peut parfois être chiant, pas là !)
darkness at the edge of town – bruce springsteen (le choc ! le disque fondateur de mon affection pour le boss)
hipocrisy is the greatest luxury - dispoasable heroes of hiphoprisy (un hip hop rageur)
hunky dory – david bowie (dieux, que c’est beau)
who’s next – the who (toute une époque ! je ne crois pas que cette musique vieillisse un jour)
masada 1 à 10 – john zorn & co (le groupe de jazz le plus passionnant des dix dernières années, le croisement de la musique klezmer et celle d’ornette coleman ! en plus, la révélation de dave douglas !)
this is not going to be pretty – harvey fierstein (hé, hé ! pas besoin d’être gay pour apprécier, ce mec est fabuleux !)
rimes féminines – juliette (cette grosse dondon est la seule héritière de barbara ! sublime, forcément sublime)
chansons nomades – angélique ionatos (quel disque ! quels musiciens ! quelle atmosphère !)
the naked lunch – william burroughs (ok, le vieux bill lisant son chef d’œuvre… et alors ? bah, rien… c’est ahurissant)
35ème anniversaire – edith piaf (à l’étranger, c’est la plus grande chanteuse du monde… et si c’était vrai ?)
money jungle – duke ellington & charlie mingus & max roach (une rencontre au sommet, l’élégance du jazz)
pet sounds – the beach boys (le chef d’œuvre incontournable de la pop)
definitive impressions – the impressions (curtis mayfield était un géant, putain de grue !)
ceux qui m’aiment prendront le train – B.O.F. (surtout pour l’adagio de mahler par boulez et pour le reste aussi)
lorca – tim buckley (quand le beau tim s’approche des musiques nouvelles de l’époque)
sequenzas/berio – ensemble intercontemporain (imagine-t-on plus belle hommage aux instruments de la part d’un compositeur ?)
the duke ellington song book – ella fitzgerald & duke ellington (ella et duke s’éclatent et nous aussi)
shoot out the lights – richard & linda thompson (un vrai couple et ça s’entend)
girls ! girls ! girls ! – elvis costello (on peut être petit, moche, binoclard et être le plus grand)
standup comic – woody allen (bien avant qu’il ne devienne un merveilleux cinéaste, il était déjà irrésistible)
air lore – air (quand le free jazz s’attaque au répertoire des origines du jazz, une belle leçon de musique)
monk’s dream – thelonious monk quartet (un pur bijou)
cheap thrills – big brother & the holding company (le frisson qui m’a secoué en découvrant la version de « summertime » a rarement été égalé)
ziggy stardust – david bowie (le sommet d’une époque, brillant)
the complete in a silent way sessions – miles davis (whouah ! ce mec aura définitivement tout inventé)
urlicht/primal light – gustav mahler/uri caine (un choc iconoclaste et passionnant)
chansons d’auteurs – patachou (une grande dame qui ne chante plus mais qui nous enchante toujours au cinéma)
dusty in london – dusty springfield (elle aussi, qu’est-ce que je l’aime !)
songs for drella – lou reed & john cale (le plus beau requiem de la pop)
thelonious monk with john coltrane (un choc de titans)
hawa – houria aïchi (toute la sensualité des chants de l’aurés)
the complete lionel hampton quartets & quintets with oscar peterson on verve (j’ignorais tout de ces séances avant, quelle surprise ! quelle joie !)
verve jazz masters – nina simone (ah, ma nina à moi… ses « four women » font partie de mon panthéon personnel)
the complete quintet recordings 1965-68 – miles davis (un groupe implacable, planquez vous, ça swingue dur !)
mai i come in ? – blossom dearie (quoi ? encore elle ? oui… encore et toujours)
teatro – willie nelson (un album tout à fait étonnant et d’une rare intimité avec emmylou harris et brad mehldau)
painted from memory – burt bacharach & elvis costello (le retour du grand burt ! quelles mélodies !)
sweeter as the years fo by – blind willie johnson (brrrr… une voix comme il n’y en a pas deux)
master sessions 1 & 2 – cachao (le retour en force de la musique cubaine avec andy garcia aux commandes)
reach – jacky terrasson (quel dommage ! ce garçon avait tout pour aller très loin mais comme un garçon gâté, il a cassé son jouet… et c’était le trio le plus chaud de l’époque… aujourd’hui brad a pris sa place)
a chorus line – original cast recording (moi, ça me donne envie de chanter et danser !)
parallel worlds – dave douglas (encore une formation et un répertoire passionnant du grand dave)
a night at birdland 1 & 2 – art blakey (imparrable !)
eureka – jim o’rourke (aussi génial que le film auquel il a donné son titre)
le festin de juliette (la juju revient en force, bravo)
axum – james newton (la flûte jazz enfin reconnue)
lieder/schubert – elisabeth schwarzkopf/edwin fischer (un disque magique)
the art of the trio 1 à 5 – brad mehldau (pas une seule faute de goût ! le pianiste aux deux mains droites dans sa formation idéale)
don giovanni /mozart – daniel harding (la jeunesse de daniel se transmet à don gio’)
alone together – lee konitz (un trio de rêve avec charlie haden et brad mehldau)
berlin cabaret songs – ute lemper (elle est capable du meilleur comme du pire… là, je lui tire mon chapeau)
the very best of – the mamas & the papas (ben oui, quoi… vous aimez pas, vous ?)
hommage to charles parker – george lewis (l’intello du free jazz)
symphony #3/gorecki – dawn upshaw-david zinman (bien sûr, on l’a entendu à toutes les sauces mais depuis quand ne l’avez vous pas écouté ?)
the amazing bud powell, 1 (un poco loco ? un poco, c’est tout ? hallucinant)
airs d’opéras et mélodies – enrico caruso (quelle voix ! un document inestimable)
the chairman dances – john adams (le disque pour découvrir le plus grand compositeur d’aujourd’hui)
irrésistible – juliette (une série de chansons étourdissantes, un disque fascinant)
dissy’s diamonds – best of the verve years – dizzy gillespie (pourquoi un best of ? parce que celle ci est parfaite !)
faces down – sondre lerche (ah ! mon chouchou du moment, un burt bacharach en culottes courtes…)
maestro’s choice – hariprasad chaurasia (une musicalité à toute épreuve, passionnant)
the same river twice – myra melford (une compositrice magnifique avec dave douglas dans sa poche)
shut down – the beach boys (quel disque !)
stellar regions – john coltrane (un disque curieusement assez récent, splendide)
this one’s for blanton ! – duke ellington & ray brown (un duo de rêve, n’en jetez plus !)
new moon daughter – cassandra wilson (est-ce encore du jazz ? non, une voix splendide sur un répertoire de rêve)
soapsuds, soapsuds – ornette coleman & charlie haden (encore un duo passionnant)
john wesley harding – bob dylan (le maître !)
die schöne müllerin/schubert – ian bostridge/dietrich fischer-dieskau/graham johnson (la découverte de bostridge, le ténor qui monte !)
daydream nation – sonic youth (et si ce n’était pas du rock ? mais de la musique contemporaine utilisant le rock comme matériau)
rejoicing – pat metheny & charlie haden & billy higgins (une machine à swinguer comme il y en a eu peu)
nixon in china – john adams (le premier opéra de john adams)
le oud – farhan sabbagh (tous les parfums d’orient…)
le bœuf sur le toit – renaud capuçon & daniel harding (oui, bon, je sais… c’est le dernier album de daniel en date… mais ça swingue du diable ! )
blossom dearie sings comden and green (tiens, encore elle…)
blue train – john coltrane (le premier grand disque du trane)
grandes figures du flamenco, 5 – ramon montoya (la guitare flamenca dans toute sa splendeur)
misterioso – thelonious monk quartet (beau, beau, beau…)
i’m telling you for the last time – jerry seinfeld (ce type est irrésistible)
candide/bernstein – original broadway cast (qu’est ce que c’est bien !)
the complete bitches brew sessions – miles davis (la bombe ! le jazz ne sera plus jamais le même)
sanctuary – dave douglas (et si c’était le « bitches brew » de douglas ?)
federico e giulietta – caetano veloso (un hommage inattendu, très émouvant)
something else – the kinks (un disque sans faille !)
town hall concert – charles mingus (mingus faisant ses adieux à dolphy, déchirant !)
sonatine – dialogue de l’ombre double – cummings ist der dichter - pierre boulez/ensemble intercontemporain (boulez est un grand prétentieux mais son boulot reste passionnant)
the avant-garde – john coltrane & don cherry (trane sur les traces d’ornette !)
chansons d’auteurs – dario moreno (j’ai bien le droit de rire, non ?)
swedish schnaps – charlie parker (un très grand disque)
cant de la sibilla – montserrat figueras/jordi savall (une voix de rêve dans un répertoire étonnant)
elegiac cycle – brad mehldau (le beau brad en solo, y a pas de doute, il est le plus grand)
triple quartet – steve reich – kronos quartet (ah ! le kronos est encore capable de faire de la musique passionnante)
issachar – the circle maker/john zorn – masada string trio (zorn développe encore son projet masada dans une nouvelle diraction)
shadows and light – joni mitchell (non seulement, je vous aime mais vous venez avec pastorius et metheny ? merci !)
5 by monk by 5 – thelonious monk quintet (rien à dire… le moine dans ses œuvres)
meaty, beaty big and bouncy – the who (ah ! les petites chansons des who ! quelle pêche !)
moving portrait – dave douglas (dave douglas joue joni mitchell, quel bonheur)
amazing grace – aretha franklin (un gospel incandescant ! tu m’étonnes, avec « la voix » état de grâce)
the blues and the abstract truth – oliver nelson (un très très grand disque !)
sgt pepper’s lonely hearts club band – the beatles (un disque historique !)
l’œuvre pour guitare/ohana – stephan schmidt (la guitare contemporaine ! wouah !)
the nightmare before christman – danny elfman (que c’est bien ! que c’est drôle !)
pelléas & mélisande/debussy – roger desormière (la seule version que je connaisse mais qu’est ce que c’est beau…)
confirmation – best of the verve years – charlie parker (une compil’ parce que j’ai plus les moyens de m’offrir le coffret)
the johnny mercer song book – ella fitzgerald (ella chante un parolier… sublime !)
atlantic rhythm & blues 1947-1974 1 à 7 (ah ! rien à jeter ! la chapelle sixtine du rhythm’n’blues)
the wonderful world of antonio carlos jobim (hmmmmmmm ! que c’est bon…)
the last waltz – the band (un grand film, un grand disque, à quand le DVD ?)
art blakey’s jazz messengers with thelonious monk (encore un mariage royal)
out to lunch – eric dolphy (le passeur qu’on a souvent tendance à laisser dans l’ombre alors qu’il a donné au jazz un souffle irrésistible)
100 años de copla (l’équivalent du blues urbain pour le flamenco)
john coltrane & duke ellington (comment résister à cet accouplement tellurique ?)
jane b – jane birkin (une grande dame, plus qu’une simple chanteuse)
the beat generation (un coffret passionnant et drôlissime)
nixon – lambchop (un disque génial… merci)
legend – bob marley & the wailers (rien que pour « redemption songs » ce disque est indispensable)
works for cello - lecture on nothing/john cale – frances-marie uitti (le verbe comme musique…)
revolver – the beatles (leur majesté est inégalée)
the craddle will rock – marc blitzstein – john houseman (le kurt weill américain)
clouds – joni mitchell (vous ai-je dit que je vous aime, madame ?)
waltz for debby – bill evans trio (le pianiste blanc des années 50)
subterranean homesick blues – bob dylan (une balade à new york, un disquaire, un chef d’œuvre)
great jewish music : burt bacharach (le choc de la pop et du jazz, décoiffant)
new world jazz – michael tilson thomas (une disque jouissif !)
praise god i’m satisfied – blind willie johnson (personne ne peut résister à cette voix !)
five – dave douglas (encore une autre formation du douglas polymorphe)
the complete columbia studio recordings – miles davis & gil evans (les concertos pour trompette de miles ! magnifique ! un écrin de rêve !)
la voz del sentimiento – freddy (une voix venue d’ailleurs, unique)
smiley smile/wild honey – the beach boys (une merveille, quoi d’autre ?)
foreign affairs – tom waits (un duo irrésistible avec bette middler et des mélodies entêtantes)
give him the ooh la la – blossom dearie (coucou, la revoilà ma chérie d’amour)
beggars banquet – the rolling stones (même si j’ai assez peu d’affection pour eux, ils ont joué un rôle immense et ce disque est de loin leur chef d’œuvre)
monk’s music – thelonious monk septet (décidément, il n’y a que des chefs d’œuvre ici)
everything is possible – the best of os mutantes (la pop psychédélique brésilienne avec des titres signés caetano)
histoire de melody nelson – serge gainsbourg (et si le vrai génie derrière ça était en fait jean-claude vannier ? qui n’a jamais écouté « le petit singe qui se trempe les couilles dans le whisky », n’a jamais rien entendu !)
olé coltrane – john coltrane (olé !)
songs in the key of life – steve wonder (le disque phare de l’époque ! on l’a tellement entendu qu’on le connaît par cœur ! il n’a rien fait de mieux)
witness – dave douglas (un douglas plus expérimental, plus littéraire)
i never loved a man the way i love you – aretha franklin (quand elle chante l’amour, on a du mal à ne pas la croire)
the sidewalks of new york – uri caine (un authentique film d’époque sonore, les images sont inutiles)
nilsson sings newman – harry nilsson (on dirait un disque de lieder de schubert)
twenty five – sweet honey in the rock (les nanas du gospel a capella, quelle classe)
all the news that’s fit to sing/i ain’t marching anymore – phil ochs (le voilà celui là ! le râleur ! quel gâchis !)
the george & ira gershwin song books – ella fitzgerald (gerswhin comme on ne l’espérait plus… mais quelle idée de confier le design de la pochette à cette tâche de buffet !!!)
skies of europe – italian instabile orchestra (un big band rutilant made in italy !)
best of - jimmy cliff (lui, je l’aime beaucoup… c’est léger, c’est frais…)
excitable boy – warren zevon (un songwriter maudit s’il en est… implacable !)
coltrane jazz – john coltrane (ben oui, le trane période atlantic dans toute sa grandeur)
the greatest hits of the monkees (de la joie à l’état pur)
fab forty – the singles collection 1964-1970 – the kinks (peut être mon groupe anglais favori… mod ? non pourquoi ?)
the complete lester young studio sessions on verve (quel son ! du velours)
midnight in the garden of good and evil – B.O.F. (une distribution étincelante pour un film flamboyant)
crime passionnel – jean guidoni (piazzola – pierre philippe – guidoni : un tiercé gagnant)
hitsville, usa : the motown singles 1959-1971 (la musique la plus joyeuse que je connaisse)
the end – nico (certainement le disque le plus déprimant de l’histoire, une beauté noire)
new and old gospel – jaclie mc lean (il a pas toujours été passionnant mais là, avec ornette à ses côtés, c’est la grande classe)
today !/summer days – the beach boys (du bonheur !)
buena vista social club (plus qu’un coup médiatique, un véritable projet artistique, très émouvant)
the jack kerouac collection (on repart sur la route avec le seul et unique jack… il chante même parfois…)
the legendary year – kris kristofferson (« me and bobby mcgee », « help me make it through the night »… rien que ça, ça mérite le prix nobel)
a man and a half – wilson pickett (un homme et demi, seulement ? bien plus à mon humble avis)
electric ladyland – jimi hendrix experience (du blues et rien d’autre, mais transcendé, amené à un niveau inimaginable)
antologia – compay segundo (le papy avant la gloire… c’était déjà très bien !)
reflections – steve lacy (quand lacy joue monk, c’est comme une prière)
coltrane plays the blues – john coltrane (le blues selon trane, imparable)
be altitude : respect yourself – the staples singers (du gospel-soul-funk, groovy baby)
tears down the walls/bleecker & macdougal – fred neil (en attendant les autres rééditions, on se contentera de ces merveilles)
sunflower/surf’s up – the beach boys (on peut rêver à ce que « smile » aurait été avec ces petits extraits)
rum, sodomy & the lash – the pogues (un concert des années 80 dans une salle de concert du forum des halles qui n’existe plus… un bordel inimaginable mais quelle joie !)
at san quentin – johnny cash (ce disque fait froid dans le dos…)
anthology – townes van zandt (attention, chef d’œuvre ! il n’y a rien de plus triste au monde… mais que c’est beau !)
the tiny bell trio – dave douglas (le revoilà avec brassens et brahms au programme !)
the complete ella & louis verve recordings (mon premier 45t que j’ai écouté en boucle pendant des heures, c’était « learning the blues »… le plaisir est intact…)
dead man walking – B.O.F. (un disque étonnant…)
american theater songs/weill – lotte lenya (irrésistible ! en prime louis armstrong montrant à lotte comment chanter « mack the knife » !!!)
anthology – emmylou harris (une dame d’une intégrité à toute épreuve… on est loin des flonflons)
l’art de marianne oswald (écoutez-là, vous serez surpris ! l’underground français des années 30)
genius of modern music 1& 2 – thelonious monk (rien à dire, indispensable pour ceux qui aiment la musique)
eastwood after hours – live at carnegie hall (j’aurais aimé y être, une affiche de folie pour un hommage à un sacré bonhomme qui est toujours là où on ne l’attend pas)
anthology – the temptations (à tomber par terre !)
francis albert sinatra & antonio carlos jobim (la plus belle des rencontres, un plaisir de chaque instant)
out of the cool – the gil evans orchestra (evans écrivait pour orchestre comme d’autre écrivent pour le piano, géant)
that’s entertainment – the best of the mgm musicals (j’adore ça… on n’a jamais rien fait de mieux…)
let’s get lost – the best of chet baker sings (la voix la plus douce, la plus belle gueule, quel gâchis…)
decade – neil young (le canadien dans ses œuvres, terrible)
can the circle be unbroken – the original carter family (les origines de la vraie country)
dusty in memphis – dusty springfield (un disque irrésistible ! quelle pêche !)
from the original master tapes – buddy holly (on ne l’écoute plus et pourtant je ne connais pas grand chose de plus doux)
magnolia – aimee mann (virez les supertramp de la fin du disque et vous avez un album d’une chanteuse exceptionnelle)
clube da esquina – milton nascimento (quand la musique brésilienne devient universelle)
april – susanne abbuehl (pour la sublime idée de marier carla bley et e.e. cummings)
desertshore – nico (pour une cicatrice intérieure qui ne s’est jamais refermée)
the complete bud powell on verve (un fou furieux, un génie, quoi…)
goodbye 20th century – sonic youth (les sonic sont les cousins des kronos, quelle surprise et quelle joie !)
grands cantaores du flamenco, 3 – la niña de los peines (la señora du flamenco ! une saeta à vous couper le souffle)
the essential dolly parton 1 & 2 (elle est loin d’être la bimbo qu’on imagine, je ne crie pas au génie mais je dois me retenir un peu…)
our hunting fathers/britten – daniel harding/ian bostridge (coucou daniel… j’avais déjà ses disques avant qu’il n’épouse la sœur d’un de mes meilleurs amis… et quel disque !)
the creative act – marcel duchamp (en anglais mais passionnant malgré tout, j’aurais préféré les fameuses interviews que France culture nous balance parfois à 3 h du mat…)
the black saint and the sinner lady – charlie mingus (charlie se voulait l’égal du duke… il avait raison)
the jerome kern songbook – ella fitzgerald (peut être pas le meilleur répertoire mais qu’est-ce que c’est agréable !)
pour en finir avec le jugement de dieu – antonin artaud (un ovni !)
selma’s songs – björk (magnifique)
sudori – pino minafra (le leader de l’instabile en petite formation… totalement jouissif)
i was looling at the ceiling and then i saw the sky – john adams (johnny goes to broadway)
« album blanc » - the beatles (que peut on en dire ? rien, il faut l’écouter encore et encore)
in all languages – ornette coleman (ornette réunit tous ses copains, une fête permanente)
buscando america – ruben blades (ce mec est grand… le dylan de la salsa)
somethin’ else – cannonball adderley (souvent attribué à miles davis, un disque qui m’accompagne depuis très longtemps…)
17 chansons décadentes et fantasmagoriques – brigitte fontaine (la reine des kékés à ses débuts…)
solitary man – johnny cash (mais non, t’es pas tout seul… on t’aime aussi, va…)
the civil wars – philip glass & robert wilson (une vraie surprise, c’est presque du bel canto !)
dino saluzzi – cité de la musique (du tango d’une pureté inouïe)
amarcord nino rota (pour carla bley en pleine forme et une balade nocturne dans Roma avec steve lacy)
helen in nashville – helen shapiro (un petit bijou !)
the complete billie holiday on verve – 1945-1959 (ces disques sont tellement bouleversants que chaque écoute me fait mal)
Sunday at the village vanguard – bill evans trio (superbe… bill evans est le premier musicien que j’ai appris à reconnaître à sa sonorité)
blonde on blonde – bob dylan (le plus beau à mon avis)
happy sad – tim buckley (le bôgosse n’était pas des plus joyeux, lui non plus)
sonates bwv 1001 & 1005/bach – jascha heifetz (le violon du diable ! écoutez les chaconne pour vous en convaincre !)
rose kennedy – benjamin biolay (la plus belle surprise de l’année dernière… un disque qui a du mal à quitter ma platine)
we’re only in it for the money – frank zappa (zappa meets kafka… un grand disque)
conference of the birds – dave holland quartet (pour une initiation au free jazz tout en douceur)
hammerklavier/beethoven – maurizio pollini (deux géants pour un seul disque, ça fait beaucoup)
stargazer – dave douglas (tiens, il est encore là, lui ? son hommage à wayne shorter)
vertigo – jean guidoni & michel legrand (un très grand disque de « chanson française » (et dieu sait si j’aime pas ça))
something else !!! – the music of ornette coleman (les débuts d’ornette… tout y est déjà)
el niño – john adams (le dernier opéra d’adams… l’intelligence traduite en musique)
the complete blue note recordings – herbie nichols (un pianiste méconnu mais qui devrait avoir sa place aux côtés de bud powell ou fats waller)
the comple atomic basie – count basie (du champagne rosé…)
the seven deadly sins/berlin theatre songs/weill – lotte lenya (frau lenya à son sommet)
the jazz composer’s orchestra – michael mantler (l’aboutissement d’une certaine période du free jazz)
indeterminacy – john cage (pas vraiment un disque, plus de l’art contemporain que de la musique)
purple rain – prince & the revolution (la révélation d’un vrai talent ! qu’est-ce que j’ai pu m’engueuler à son sujet !)
a night at the village vanguard 1 & 2 – sonny rollins (la prochaine fois que je vais à new york, j’irai au village vanguard, c’est juré !)
norma/bellini – maria callas & tullio serafin (ma casta diva favorite)
epistémé – anthony davis (une nouvelle direction pour le jazz, étourdissant)
anthologie – céline 1894-1961 (ah ! terrain miné mais ô combien précieux pour moi)
uptown – duke ellington (rien que pour le souvenir d’un grand concert au cirque d’hiver où interprétait sa suite)
blossom dearie (tout doucement, etc..) (hmmmm… je ne connais rien de plus irrésistible)
the roulette years – sarah vaughan (une voix unique, ici avec count basie)
musica callada – federico mompou (à découvrir à tout prix !)
court and spark – joni mitchell (ça faisait longtemps que je ne vous avais pas dit « je vous aime, madame »)
hidden voices – anthony davis & james newton quartet (un piano, une flûte et une nouvelle conception du jazz…)
holy sould jerry roll – allen ginsberg (l’intégrale des enregistrements d’un immense poète… génial !)
lost in the stars – the music of kurt weill (pour un youkali inoubliable, et lou reed, et john zorn, etc…)
around the world in a day – prince (son album le plus pop)
tomorrow is the question – ornette coleman (à vos marques ! juste avant la grande révolution)
post – björk (ou elle est folle ou elle est géniale voire les deux…)
tony fruscella – tony fruscella (encore un musicien maudit… quelle tristesse dans sa trompette)
ella at duke’s place – ella fitzgerald & duke ellington (des complices qui s’amusent !)
i want to see the bright lights tonight – richard & linda thompson (l’autre merveille de ce couple hors du commun)
the film score/bernard herrmann – esa pekka salonen (j’aime pas hitchcock mais j’adore la musique de ses films et là, c’est servi sur un plateau !)
john coltrane and johnny hartman (je me souviens avoir dansé sur « lush life » un slow langoureux…)
bespoke song, lost dogs, detours & rendez vous – songs of elvis costello (est-il encore besoin de prouver que ce mec a du génie ?)
vespertine – björk (son dernier opus, une balade dans un pays enneigé… )
saxophone colossus – sonny rollins (un « st thomas » incandescent !)
songs from liquid days – philip glass (glass sur des textes de paul simon, laurie anderson, david byrne avec les kronos ! une vraie fête)
one too many salty swift and not goodbye – cecil taylor (le grand prêtre du free dans un torrent de lave)
paris 1919 – john cale (vraiment un très beau disque)
red headed stranger – willie nelson (un concept album country, qui l’eut cru ? magnifique)
brilliant corners – thelonious monk (le plus beau disque du moine… j’ai hâte de le récupérer !!!)
quatuors à cordes/debussy & ravel – alban berg quartett (j’ai un faible pour celui de debussy)
go - dexter gordon (un sax ténor terriblement funky)
anthology – the colpix years – nina simone (revoilà ma nina dans sa période la plus jazz)
rubber soul – the beatles (qui dit mieux ?)
marilyn crispell – live in san francisco (une pianiste passionnante, la seule émule de cecil taylor)
rufus wainwright – rufus wainwright (quelle voix ! quel talent ! et en plus beau comme un dieu)
gnarly buttons/john’s book of alleged dances – john adams & kronos quartet (le kronos dans des pages hilarantes de john adams, une joie trop rare)
fragments of a rainy season – john cale (j’aurais donné cher pour être au théâtre des champs élysées ce soir là)
the inflated tear – rahsaan roland kirk (un sacré bonhomme, un sacré disque…)
kate & anna mc garrigle – kate & anne mc garrigle (la maman de rufus et sa sœur dans leurs œuvres ! elles sont irrésistibles !)
poses – rufus wainwright (tiens, revoilà le fiston… un disque brillant)
the rockin’ chair album – howlin’ wolf (du blues, du vrai)
hatful of hollow – the smiths (ben oui, les smiths… essayez donc de me le piquer, vous verrez !)
live ! – carla bley (un éclat de rire qui va de la pochette jusque dans la musique !)
open to love – paul bley (une preuve d’amour)
rendez vous – cassandra wilson & jacky terrasson (cassie et jacky sont dans un bateau… quel beau voyage !)
troubadour – donovan (certains le trouvent naïfs, moi, je le trouve indispensable)
bright eyed joy – the songs of ricky ian gordon (la nouvelle école de broadway avec dawn upshaw)
i’m hip – blossom dearie (le disque le plus récent de ma chérie)
spiritual unity – albert ayler (un son incandescent qui vous poursuit et ne vous lâche plus)
songs for wandering souls – dave douglas (un douglas rose bonbon qui s’attaque à kirk et à schumann)
back to mono – phil spector (une page indispensable de l’histoire de la pop)
city life – steve reich (portrait d’une grande ville par un compositeur ouvert à tous les sons)
mingus revisited – charles mingus (la preuve qu’on pourrait classer mingus entre malher et mozart)
grace of my heart – B.O.F. (un disque formidable, un film adorable, à quand le DVD ?)
the original sounds of george gershwin 1920-1945 – from gershwin time (un document précieux)
turn ! turn ! turn ! – the byrds (une collection de classiques)
sarah vaughan with clifford brown (le plus beau disque de la dame !)
l’intégrale 1936-1945 – edith piaf (les débuts de la môme)
liberation music orchestra – charlie haden & carla bley (une musique de salut public)
the blanston-webster band – duke ellington (écoutez le « concerto for cootie », vous comprendrez)
the circle game – tom rush (le pop folk à son apogée)
the clash – the clash (d’un coup, ils ont tout remis à plat…)
betty carter at the village vanguard (je l’ai souvent vue au new morning… mais jamais dans de telles conditions)
escalator over the hill – carla bley (mon disque fétiche… à une époque, c’était ce que j’offrais sytématiquement à mes amis)
mose allison sings the 7th son (du jazz, du blues, autre chose ? en tout cas, une voix inimitable)
ease down the road – bonnie « prince » billy (le dernier opus du petit prince… jusqu’où ira-t-il ?)
what’s going on – marvin gaye (le chef d’œuvre de la soul !)
traveling miles – cassandra wilson (un bel hommage au prince des ténèbres…)
bringing it all back home – bob dylan (un copain me l’a ramené des states dans les 80s, il ne m’a jamais quitté)
chelsea girl – nico (la belle après le velvet et sous l’aile de jackson browne…)
serenade for tenor, horn and strings – peter pears & benjamin britten (ce n’est plus de la musique à ce niveau où tous les sentiments se mêlent, magique)
home in your heart – the best of solomon burke (quel bonhomme ! on annonce son retour pour bientôt ! chic !)
our man in paris – dexter gordon (une page magnifique du jazz !)
london calling – the clash (ils ne seront jamais plus aussi puissants)
24 paginas inolvidables – serrat (le grand chanteur español, j’ai mis 40 ans à le découvrir mais quelle joie)
dummy – portishead (belle surprise… m’y attendais pas)
garden 1 & 2 – cecil taylor (au delà des genres… romantique ou contemporain ? juste un mec à son piano)
concert 1989 – guidoni (j’y étais, guidoni n’aura jamais été aussi impressionnant sur scène)
the voice – bobby mcferrin (c’est dingue ce qu’on peut faire avec une voix et un corps)
friends/20/20 – the beach boys (ils ont raisons, c’est du 20/20 !)
interstellar space – john coltrane (un sax en folie et un batteur inconscient… ils sont allés au delà de la musique, un point de non retour)
highway 61 revisited – bob dylan (un pur classique)
comme à la radio – brigitte fontaine (brigitte avec l’art ensemble of chicago… un disque de folie.
fina estampa ao vivo – caetano veloso (une des plus belles voix du monde, de celles qui me font encore pleurer)
sinfonia/berio – pierre boulez (toujours les swingle singers dans une œuvre composée pour eux… festif)
swordfishtrombone – tom waits (l’album de la métamorphose… le looser magnifique se transforme en… en quoi, d’ailleurs ? c’est quoi cette musique ?)
my fair lady – rex harrison/julie andrews (on ne se refait pas…)
blue – joni mitchell (je vous aime à la folie, madame et là, plus que jamais)
paris 1989 – max roach & dizzy gillespie (un concert à bobigny, j’y étais… inoubliable)
chantefleurs et chantefables/lutoslawsky - daniel harding (le premier album de daniel… un sacré courage !)
intégrale des œuvres chorales – giacinto scelsi (est-ce encore du chant ? ce qui figure sur ce disque est affolant !)
violin concerto/adams – gidon kremer (un concerto magique avec un violoniste qui ne l’est pas moins)
the melody at night with you – keith jarrett (l’album du retour, après la maladie, le calme, la sérénité…)
still crazy after all these years – paul simon (on l’oublie souvent lui aussi, le woody allen de la pop)
cantaloupe island – herbie hancock (un best of de sa meilleure époque)
amina claudine myers salutes bessie smith (un très très grand disque de blues !)
ah um – charles mingus (rien que pour « goodbye pork pie hat » cet album m’est précieux…
the ballad of the fallen – charlie haden & carla bley (l’hommage du jazz aux opprimés !)
the astaire story (un disque incroyable… fred vous raconte sa vie en chantant… renversant)
a hard day’s night – the beatles (où serait-on sans eux ?)
debut – björk (magique)
changesbowie – david bowie (un best of du génial touche à tout… irrésistible)
greatest hits – the jam (un groupe électrifiant !)
operators manual – the buzzcocks (je les ai découverts très tard, comment ai-je pu passer à côté ?)
suicide – suicide (dans le genre déprimant, ils se posent là eux aussi mais quel disque !)
buffalo springfield – buffalo springfield (aux origines de beaucoup de musiques)
sweetheart of the rodeo – the byrds (est-ce vraiment de la country ou l’hommage de la pop us à ses origines ?)
locus solus – john zorn (de la folie ! de la pure folie !)
entertainment – gang of four (ça fait longtemps que je ne l’ai pas écouté mais cet album est inoubliable)
bachelorette – björk (pas ma faute si chacun de ses disques est un bijou !)
band on the run – wings (le meilleur disque du macca post beatles)
india song – carlos d’alessio (une musique intemporelle… merci madame marguerite !)
it’s a wonderful life – sparklehorse (totalement indispensable !)
live at the village vanguard – john coltrane (avec eric dolphy) (pour un « india » fascinant !)
livro – caetano veloso (il pourrait chanter le bottin, ce serait pareil…)
graceland – paul simon (quand il le veut, il sait revenir en beauté !)
puta’s fever – mano negra (j’étais jeune et paris bougeait bien à l’époque…)
mi cyaan believe it – michael smith (le souvenir d’une rencontre dans le palais de l’unesco lors d’une soirée avec ginsberg et catherine ringer… quelques mois plus tard, il se faisait lapider à mort…)
on the sunny side of the street – ella fitzgerald & count basie (mon premier album de la dame… certains de mes amis n’y ont rien compris, moi ma vie avait basculé…)
the late recordings – astor piazzola (el maestro dans ses dernière merveilles)
tommy – the who (encore un truc qui me ramène près de 25 ans en arrière)
what a difference a day makes – dinah washington (un souvenir très intime… no comment)
white light, white heat – velvet underground (le velvet le plus teigneux…)
make day for dionne warwick/the sensitive sound of dionne warwick (la voilà ! l’inestimable chanteuse ! l’unique ! avant qu’elle ne baisse les bras et fasse n’importe quoi ! reviens, dionne !!!)
berlin concerts – eric dolphy (pour le joie derrière chaque note)
20 chansons d’or – charles aznavour (et alors ? un authentique songwriter)
coplas de madruga – martirio (le jazz et l’espagnol, la rencontre inattendue)
femme-piano – barbara (pour l’aigle noir de mes nuits d’angoisse)
ascension – john coltrane (une cérémonie barbare)

old times # 3 (spécial jean g.)

20 novembre 1983 : le choc initial...









lundi 23 juillet 2007

popin jukebox # 3



ça, c'était vraiment bien... xtc !

sans cesse imitée, toujours inégalée...



elles peuvent toutes aller se rhabiller, les caven, les lemper... dire qu'on a failli avoir un biopic de la dietrich dirigé par stanley donen avec patricia kaas... on en a fussillés pour moins que ça !!!

my favorite things # 5

la joyeuse parade (fin)... there's no business like showbusiness... ethel merman était une très grande dame !



my favorite things # 4

st groucho marx priez pour nous... :o)



my favorite things # 3

la joyeuse parade (suite) : "spécial marilyn"



dimanche 22 juillet 2007

old times # 2

l'orgie permanente...































duo d'en haut...

étant privé (et c'est tant mieux) d'ordinateur pendant trois semaines à compter de samedi prochain, je vais donc faire le plein d'images qui me tiennent à coeur...

je vais donc commencer par un duo qui me touche tout particulièrement. d'une part, je trouve que ce sont deux des plus bouleversantes voix du moment (leur version de "the ballad of the sad young men" sur le tout dernier album de marc est une merveille) et d'autre part, ils sont la preuve qu'on peut être "joyeux" sans être une bombe stéroïdée... donc, voici le rondouillard antony [hegarty](& the johnsons) et marc almond, le reptile miraculé.

in pascale ogier memoriam

j'avais 24 ans et encore toutes mes illusions... un jour, pascale ogier apparut sur nos écrans provoquant des émois chez tout le monde... le film fut un petit phénomène de société... le temps d'un printemps toutes les filles arboraient sa coiffure... déjà, je voulais ressembler à octave... nous avions trouvé notre "idole"... quelques jours plus tard, le 25 octobre 1984, son petit coeur s'arrêta... quelque part, mes années 80 s'achevèrent ce soir là...




ps : il s'agit des "nuits de la pleine lune" d'éric rohmer avec pascale ogier, fabrice luchini, tchéky kario et christian vadim. suivez mon conseil, revoyez donc les films de rohmer, je le considère comme un des plus grands cinéastes français.

my favorite things # 2

j'ai trouvé des extraits d'une de mes comédies musicales favorites, "there's no business like showbusiness" entièrement montée autour de chansons d'irving berlin avec une distribution de folie : ethel merman, dan dailey, donald o'connor, mitzi gaynor, johnnie ray et marilyn monroe !!! (excusez du peu). il s'agit d'un des magnifiques mélodrames en technicolor et cinémascope qu'il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie. ce n'est pas du grand cinéma d'auteur mais bien un chef d'oeuvre de la série b des années 50. aussi intimiste soit-il, il faut le voir sur grand écran pour en apprécier tout son miel, les numéros musicaux utilisent intelligemment le cinémascope et, donc, un passage tv en coupe forcément un bon tiers... à moins que le 16/9 ne résolve ce problème, je ne sais pas...

premiers clips :





à suivre...

images émouvantes # 12


























samedi 21 juillet 2007

this is dedicated to my little prince...



for you, dear wim.

vous reprendrez bien un peu de miel avec votre thé à la menthe ?

fairuz, "saaltak habibi" Very Happy

aux premières chaleurs...

au premières chaleurs, je sens en moi une langueur qui n'aspire qu'au farniente et à la contemplation et, à ce jour, la musique orientale a toujours été la bande originale idéale de ces moments d'indolence... alors, laissez-vous aller, vous en avez pour plus d'une heure en compagnie de la plus grande, om kalsoum dans son chef d'oeuvre, "al altal".
bismillah !

jeudi 19 juillet 2007

portraits d'artistes # 2

alan bennett par derry moore. à la maison, j'ai également une sorte d'autel comme celui qui est derrière lui où j'accumule des objets et des photos autour d'un miroir. cet auteur de théâtre est une véritable institution de l'autre côté de l'eurostar, ici, il est quasiment inconnu...










giles lytton strachey, figure emblématique de l'école de bloomsbury par sa chère et tragique dora carrington.










"the entertaining mr" joe orton par lewis morley.
encore un joyeux jeune homme au destin tragique... un marteau (à tous les sens du termes) jaloux mit fin à ses jours... lui aussi, je me demande si ses pièces ont jamais été montées en france... (il est le sujet du très beau "prick up you ears" de stephen frears)

mercredi 18 juillet 2007

history boys, une merveille

le film n'a fait qu'un petit séjour sur nos écrans l'an dernier... il n'est pas un chef d'oeuvre du cinéma mais c'est la seule trace (avec l'enregistrement sonore de la bbc) qu'il nous reste de la pièce d'alan bennett qui a bouleversé la perfide albion il y a quelques années... c'est frais, touchant, brillant, très gay friendly, bref, c'est une merveille à découvrir absolument. le dvd doit être sorti en france depuis peu.




mardi 17 juillet 2007

life on mars, à découvrir

portraits d'artistes # 1


ma chère fiona shaw par victoria russell
(je suis impatient de la retrouver sur la scène de chaillot dans "happy days" dans quelques mois.)
















john hurt par stuart pearson wright
(beckett quand tu nous tiens... c'est pendant qu'il interprétait "la dernière bande" que ce portrait a été peint.)














david hockney & lucian freud par david dawson
(remarquez à quel point hockney semble coquin et freud méphistophélique...)

lundi 16 juillet 2007

jeudi prochain, sourde angoisse...



je vous en parlerai plus tard, je l'espère...

dimanche 15 juillet 2007

london boys, the musical

finalement,

jeudi après-midi, j'ai pu me procurer une place pour les fameuses (l'intrigue étant racontée à rebours de la séparation jusqu'à la rencontre d'un couple adultère, la création en france se fit avec andré dussolier, sami frey et caroline cellier) "trahisons" de pinter au donmar warehouse, une petite salle de théâtre "expérimentale" londonienne. magnifique mise en scène (à mille lieues de l'horripilante version parisienne de l'année dernière !) avec un des plus grands acteurs britanniques, samuel west !


et le tout pour 7,50 £... ok, debout mais ça valait largement le coup !

je reviendrai sans doute plus tard sur mes impressions théâtrales de ce nouveau séjour londonien... assez inégal, il faut le reconnaître...

london boys


Cow bell strikes another night
Your eyes are heavy and your limbs all ache
You've bought some coffee, butter and bread
You can't make a thing cause the meter's dead
You moved away
Hold your folks you're gonna stay away


Bright lights, Soho, Wardour street

You hope you make friends with the guys that you meet
Somebody shows you round

Now you've met the London boys











Things seem good again, someone cares about you


Oh, the first time that you tried a pill
You feel a little queasy, decidedly ill
You're gonna be sick, but you mustn't lose faith
To let yourself down would be a big disgrace
With the London boys, with the London boys











You're only seventeen, but you think you've grown
In the month you've been away from your parents' home

You take the pills too much
You don't give a damn about that jobs you've got
So long as you're with the London boys




















A London boy, oh a London boy
Your flashy clothes are your pride and joy

A London boy, a London boy
You think you've had a lot of fun
But you ain't got nothing, you're on the run

It's too late now, cause you're out there boy












You've got it made with the rest of the toys
Now you wish you'd never left your home

You've got what you wanted but you're on your own
With the London boys

Now you've met the London boys
Now you've met the London boys
Now you've met the London boys